« Contrairement à ce qui est communément pensé, la financiarisation des organisations est moins une conséquence d’un actionnariat fort que de son désengagement. Un actionnariat dit « faible », désintéressé de la vie de l’entreprise, de ses perspectives, qui ne considère l’entreprise plus que comme une source de dividendes dont il peut se désengager à l’envie, ne penchera pas en faveur des mêmes orientations qu’un actionariat impliqué de manière active dans la vie de l’organisation, soucieux de sa pérennité et de la durabilité de ses choix. »
Alors, comment réengager l’actionnariat au profit de la performance durable ?